20/06/2019 à 21:01
Frankhinley
Bonsoir (parce que c'est toujours le soir que je décide de m'inscrire à quoi que ce soit et encore aujourd'hui, j'ignore pourquoi).
J'aime le beau. Cela représente un de mes traits de caractère et non un choix. C'est souvent un handicap mais parfois un don merveilleux. Quand ? Lorsque celui qui écoute entend.
J'aime donc malheureusement les belles images. Les miennes n'en sont jamais. Comme j'aime le beau de manière spontanée, je sais immédiatement ce qui manque dans chacune. Quelle tare ! Quel regard ! Les deux se valent, non ?
Il m'est arrivé toutefois d'admirer des images parfaites. Deux fois. Lesquelles ? Cela n'importe pas. Ce qui rend un exercice plaisant, c'est d'identifier ce qu'il y a à améliorer. Constater que tout est là ne dure qu'une seconde par contre s’attarder à ce qui manque construit une vie et souvent… une exposition époustouflante. C'est parce que je vous la souhaite jouissive que mes mots seront précis, sincères et directs.
J'attendrai de vous la même chose lorsque vous me ferez part de votre regard.
Mille vies s'étendent derrière moi et, croyez-le ou non, c'est du Paradis que je regarderai votre travail. Non, je ne prétend pas être mort… Le Paradis n'est à découvrir que vivant. Ce qui représente d'ailleurs le plus grand drame dans l'existence de beaucoup.
Je termine un très bon Côtes-du-Rhône (parce que c'est toujours le soir que je décide de m'enivrer du plus grand nombre de façons et encore aujourd'hui, j'ignore pourquoi).
Au plaisir de vous écrire,
Frank
J'aime le beau. Cela représente un de mes traits de caractère et non un choix. C'est souvent un handicap mais parfois un don merveilleux. Quand ? Lorsque celui qui écoute entend.
J'aime donc malheureusement les belles images. Les miennes n'en sont jamais. Comme j'aime le beau de manière spontanée, je sais immédiatement ce qui manque dans chacune. Quelle tare ! Quel regard ! Les deux se valent, non ?
Il m'est arrivé toutefois d'admirer des images parfaites. Deux fois. Lesquelles ? Cela n'importe pas. Ce qui rend un exercice plaisant, c'est d'identifier ce qu'il y a à améliorer. Constater que tout est là ne dure qu'une seconde par contre s’attarder à ce qui manque construit une vie et souvent… une exposition époustouflante. C'est parce que je vous la souhaite jouissive que mes mots seront précis, sincères et directs.
J'attendrai de vous la même chose lorsque vous me ferez part de votre regard.
Mille vies s'étendent derrière moi et, croyez-le ou non, c'est du Paradis que je regarderai votre travail. Non, je ne prétend pas être mort… Le Paradis n'est à découvrir que vivant. Ce qui représente d'ailleurs le plus grand drame dans l'existence de beaucoup.
Je termine un très bon Côtes-du-Rhône (parce que c'est toujours le soir que je décide de m'enivrer du plus grand nombre de façons et encore aujourd'hui, j'ignore pourquoi).
Au plaisir de vous écrire,
Frank